Un professionnel ne jure que par les pellets de paille
Le centre équestre Hardtwald de Bad Homburg (Allemagne) jouit d’une excellente réputation auprès des cavaliers – amateurs et professionnels, bien au-delà de son rayon d’action. Andreas Wendenburg en a pris la direction il y a dix ans et assure la formation des chevaux et des cavaliers avec beaucoup d’engagement personnel et d’expertise. Ancien cavalier en saut d’obstacles, il a lui-même participé avec succès à de nombreuses compétitions internationales. En tant qu’entraîneur diplômé et directeur du centre équestre, le maître formé au dressage transmet aujourd’hui toute son expérience en matière d’élevage de chevaux et de sport de compétition à ses élèves et propriétaires de chevaux. « Dans notre ferme-école, nous louons des chevaux à des étudiants en équitation qui veulent les monter et les soigner sous la direction de professionnels, en petits groupes, deux à trois fois par semaine, pendant deux à trois heures à chaque session. Il a été démontré que ces soins individuels réguliers sont la meilleure méthode d’apprentissage tant pour les cavaliers que pour les chevaux », affirme Mr Wendenburg. Car comme lui, ses clients sont très exigeants en ce qui concerne l’entraînement et les soins des chevaux. Avec un tel niveau d’exigence, la litière en paille longue des boxes des chevaux était un des derniers points d’insatisfaction du formateur. Mais les problèmes qui en découlaient ont heureusement été résolus, grâce au passage aux pellets structurés.
Passage réussi de la paille longue aux pellets structurés
« Jusqu’à il y a six mois, nous utilisions principalement de la paille longue pour les 38 boxes à chevaux, dans lesquels nous élevons 25 de nos propres chevaux et 13 chevaux en pension. Mais la lourde charge de travail liée au paillage et au curage, ainsi que les dépenses croissantes liées à l’évacuation du fumier, sont devenues trop lourdes pour moi », explique ce professionnel du cheval. C’est l’entrepreneur de travaux agricoles Christian Staehr, de Neu-Anspach (Allemagne), qui lui a donné l’idée de tester les pellets structurés de paille. Ce dernier s’occupe depuis des années de l’évacuation du fumier sur le site et lui a fourni un lot d’essai de pellets structurés qu’il produit à partir de sa propre paille à l’aide d’une presse à pellets mobile Premos KRONE. « Nous avons d’abord utilisé ces pellets structurés à titre d’essai dans trois boxes de chevaux qui n’étaient pas très propres. Au bout de trois mois, le résultat était déjà convaincant : le temps de travail, le besoin en litière et la quantité de fumier produite ont été réduits de moitié par rapport à la paille longue ! », explique Mr Wendenburg. Il n’a donc pas hésité et a décidé de suite de passer tous ses boxes de la paille longue aux pellets structurés. Après avoir expliqué en détail tous les avantages et les inconvénients, il a donné à ses clients un délai d’une semaine pendant lequel ils pouvaient s’opposer au changement de litière. Comme 99 % des clients étaient convaincus de la décision, tous les litières des boxes, sauf une, ont été remplacés par des pellets structurés.
Grâce à un pouvoir absorbant élevé, très efficace même en petites quantités
Mr Wendeburg décrit l’utilisation des pellets de paille comme suit : « Pour la litière de base du box après nettoyage, environ 5 kg par m2 de pellets en vrac stockés dans l’écurie sont déversés sur le sol à l’aide d’une brouette et répartis uniformément à la main pour former un tapis ferme.
Pour accélérer le gonflement des pellets et donc la formation d’un matelas souple de 8 à 10 cm de haut, nous les humidifions légèrement au préalable à l’aide d’un tuyau d’arrosage. Après la mise en stabulation des chevaux, les boxs sont nettoyés deux fois par jour afin d’enlever les crottins.
Environ cinq à six jours plus tard, les zones présentant des taches d’urine sont prélevées et remplacées par de nouveaux pellets. Le ré-épandage est généralement effectué tous les quatre à six jours et dépend du cheval. Ainsi, les animaux se couchent et se tiennent toujours au sec. Il restent aussi très propres sur cette surface extrêmement absorbante et antidérapante ». Un autre effet positif est la faible teneur en poussière des pellets structurés. Mr Wendenberg s’en souveint encore, une grande quantité de poussière était générée en paille longue, en particulier lorsque la paille avait été récoltée trop humide. Cela pouvait être très stressant non seulement pour les chevaux sensibles, mais aussi pour le personnel travaillant dans l’écurie en raison des difficultés respiratoires créées.
Les chevaux sont en bonne santé sur toute la ligne
Selon Mr Wendenburg, ses clients ne craignent pas que leurs chevaux mangent trop de pellets de paille. « Certains chevaux grignotent un peu les pellets en effet, mais ils n’en mangent que très peu, voire pas du tout. En effet, nous distribuons également du foin ou de la paille dans le box après le curage. Les chevaux préfèrent ce fourrage grossier aux pellets, ce qui les occupe et les distrait. Par conséquent, nous n’avons pas de problèmes de coliques ou de blocages pharyngés ». Même les maladies des sabots, fréquentes chez les chevaux, ne posent aucun problème au centre équestre Hardtwald, comme en témoigne son directeur : « Le muguet causé par l’humidité ne se produit plus du tout chez nos chevaux, car ils restent toujours au sec grâce aux pellets très absorbants. De même, les malléoles, une éruption cutanée sur le paturon, ne sont plus un problème chez nous ».
Moins de fumier et une évacuation aisée
Mr Wendenburg est très satisfait également des évolutions positives quant à l’évacuation du fumier de cheval, qui était un problème jusque-là : « Depuis que nous utilisons les pellets structurés, la quantité de fumier produite a été réduite d’environ 50 %. Cela signifie que notre fumière n’est plus pleine en permanence comme auparavant, elle se remplit beaucoup plus lentement. De plus, le fumier, qui se compose désormais principalement de crottin de cheval et d’un peu de paille, est devenu beaucoup plus facile à manipuler et plus avantageux pour les agriculteurs. Auparavant, le fumier de cheval était très pailleux et devait être retourné jusqu’à six fois pour se décomposer. Le fumier est désormais immédiatement prêt à être épandu au champ, sans avoir besoin de le composter. Comme notre client n’est de toute façon autorisé à stocker le fumier que pour une durée maximale de six mois, le volume est considérablement réduit et le fumier est aussi beaucoup plus facile à transporter, l’opération est plus simple, plus efficace et moins coûteuse ». Le passage aux pellets de paille a également permis de réduire considérablement la quantité de travail. « Lorsqu’on utilisait de la paille longue pour 38 chevaux, il fallait deux employés pour gérer le paillage, le curage, l’alimentation et de l’entretien des bâtiments. Les pellets ont permis de réduire considérablement le temps nécessaire à ces travaux, avec plus de confort, et pouvant désormais être effectués par une seule personne. Le personnel qualifié se faisant rare, cette réduction de la charge de travail a eu un effet très positif dans notre écurie », se réjouit le propriétaire du centre équestre.
Les pellets de paille ont fait leurs preuves
« Même si les pellets de paille sont plus chers à l’achat que des balles de paille, le changement en vaut la peine pour nous. En effet, les pellets structurés nous permettent déjà d’économiser beaucoup de temps de travail et de matière première par rapport à la paille longue. De même, le curage est devenu beaucoup plus facile en termes de travail et la quantité de fumier de cheval produite a été divisée par deux, son évacuation est également devenue beaucoup moins coûteuse. Les pellets structurés de Premos ont fait leurs preuves chez nous. Dans le futur, nous continuerons à utiliser cette litière, et la conseillons à tous nos collègues éleveurs », conclut le professionnel du cheval.
Contact
Vous avez des questions, un projet, envie de tester le pellet et souhaitez nous contacter ? Remplissez le formulaire ci-joint pour que nous puissions vous recontacter !